« Blame It On The Streets », la garantie YG tout en hip hop

Tous droits réservés - YG exalte sa rage de réussir dans "Blame It On The Streets".


Les succès de « My Nigga » et de « Who Do You Love? » ont installé YG dans le paysage hip hop de Los Angeles; l’artiste a décidé de ne pas laisser reposer son rap agressif, il enchaîne donc avec un deuxième album, histoire d’asseoir son style. Et YG ne manque pas de style, il déambule entre jerk urbain, façon d’être entre le punk et le hip hop, le gangsta rap du sud de la Californie et le hyphy de la Baie de San Francisco, qui lui vaut ce côté énervé et très spontané. YG est sanguin, ça transpire dans ses chansons, notamment dans les titres « Blame It On The Streets », en featuring avec Jay 305, et « If I Ever », avec TeeCee 4800 et Charlie Hood. Et cet album est un véritable trésor caractérisé par une patte urbaine qui verse dans la satire, « G$Fb » et  » 2015 Flow » vont à l’essentiel à coups de percussions et d’envolées synthétisées, un halo de paranoïa occupe alors l’espace d’écoute. « Blame It On The Streets » est magique; déjà acclamé par la critique et les aficionados du hip hop, YG peut calmer sa rage de vaincre.


Tous droits réservés – YG exalte sa rage de réussir dans « Blame It On The Streets ».


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